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augmentent. Pour être bénéfique, l'entraînement doit être réparti sur une succession de séances


Classification en référence aux Jeux olympiques[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Sports olympiques.
Les Jeux olympiques sont une compétition internationale qui regroupe une sélection de disciplines sportives. Ainsi, il est possible de classer les sports entre ceux qui sont inscrits aux Jeux olympiques, dits « Sports olympiques » et ceux qui le sont pas. Ceux qui sont « Sports olympiques » peuvent l'être pour les jeux olympiques d'été ou d'hiver. Parmi ceux qui ne le sont pas, certains sont néanmoins reconnus par le Comité international olympique (CIO).
Le tableau ci-dessous présente par ordre alphabétique les sports olympiques et les sports non olympiques reconnus par le CIO.
Liste des sports
Sports olympiques d'été    Athlétisme, aviron, badminton, baseball, basket-ball, BMX, boxe anglaise, canoë-kayak, cyclisme, sports équestres, escrime, football, golf, gymnastique, haltérophilie, handball, hockey sur gazon, judo, lutte, natation, pentathlon moderne, rugby à sept, softball, taekwondo, tennis, tennis de table, tir, tir à l'arc, triathlon, voile, volley-ball.
Sports olympiques d'hiver    Biathlon, bobsleigh, curling, hockey sur glace, luge, patinage, skeleton et ski.
Sports non olympiques « reconnus » par le CIO19    Sport aérien, bandy, billard, sports boules, bridge, course d'orientation, cricket, danse sportive, échecs, escalade, karaté, korfball, motocyclisme, motonautisme, netball, pelote basque, plongée, polo, racquetball, roller, rugby à XV, sauvetage aquatique, ski nautique, squash, sumo, surf, wushu, course de traineaux de chiens des neiges.
Nombre de fédérations ne sollicitent pas la reconnaissance du CIO (sport automobile, notamment) tandis que d'autres sont en phase de reconnaissance par le CIO (football américain, par exemple).
Physiologie et Santé[modifier | modifier le code]

La pratique équilibrée d'un sport aide à se maintenir en bonne santé physique et mentale. À l'inverse, l'excès dans un sens, l'absence totale d'exercice physique, et celui dans l'autre, le surmenage sportif, sont mauvais pour la santé.
Entraînement, compétition, récupération[modifier | modifier le code]
La pratique d'un sport se décompose en trois types d'activités : l'entraînement sportif, la compétition et la récupération.
L'entraînement a pour objectif de former et d'entraîner le pratiquant pour que ses performances augmentent. Pour être bénéfique, l'entraînement doit être réparti sur une succession de séances régulières, progressives et complémentaires les unes aux autres.
La compétition a pour objectif de mesurer les sportifs entre eux et de récompenser les meilleurs. Pour de nombreux sportifs, la compétition est le moment le plus fort et le plus agréable de la pratique du sport.
Enfin, la pratique d'un sport comprend des phases de récupération et de détente. L'objectif de ces séances est de laisser au corps de l'athlète le temps et le repos nécessaire pour qu'il se remette en état de produire les meilleurs efforts.
Compétences des sportifs[modifier | modifier le code]
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Anthropologie du sport, Perspectives critiques, 1991)6. Cette thèse est implicitement soutenue par



Jeu de paume à Paris au xviie siècle
Le terme de « sport » a pour racine le mot de vieux français desport qui signifie « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit »1. En traversant la Manche, desport se mue en « sport » et évacue de son champ la notion générale de loisirs pour se concentrer sur les seules activités physiques. La langue allemande admet le terme « sport » et sa définition anglaise en 1831 ; la France en fait usage pour la première fois dès 18282. Le sport, contrairement au terme desport, exclut les jeux de société ou jeux de l'esprit qui étaient très pratiqués en France à partir du xiiie siècle3. La frontière entre jeux et sports n'est pourtant pas très claire. La Fédération française des échecs fondée en 1921 reçoit ainsi un agrément sportif du Ministère de la jeunesse et des sports en 2000, mais uniquement parce qu'elle était une fédération « associée » au CNOSF4. Certaines pratiques traditionnelles posent également problème : sport ou jeu ? La question reste encore ouverte.
Le sport moderne se définit par quatre éléments indispensables :
La mise en œuvre d'une ou plusieurs qualités physiques : activités d'endurance, de résistance, de force, de coordination, d'adresse, de souplesse, etc.
Une activité institutionnalisée, ses règles tendent à être identiques pour l'ensemble de la planète
Une pratique majoritairement orientée vers la compétition
Une pratique fédérée (sous la tutelle d'une fédération sportive)
Ces piliers qui mettent surtout en avant l'organisation des différentes disciplines sportives n'excluent nullement les pratiques comme le sport-loisir, le sport-aventure, le sport-santé, le sport scolaire ou l'éducation physique et sportive. Si la compétition est prédominante, il existe toutefois d'autres formes de pratique[Lesquelles ?] mettant plutôt en avant le plaisir, la santé, l'éducation ou l'épanouissement5.
Histoire[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Histoire du sport.
Débat historiographique[modifier | modifier le code]
La question de l'histoire du sport bute sur un débat qui oppose deux thèses.
Pour un courant de pensée, le sport est un phénomène universel, qui a toujours existé et partout sous des formes très diverses. Ce serait un « invariant culturel » (selon les termes de Frédéric Baillette, enseignant et directeur de la revue Quasimodo). Cette thèse est notamment soutenue en 1991 par le médecin français Jean-Paul Escande (Les avatars du sport moderne, in Ardoino, Brohm, Anthropologie du sport, Perspectives critiques, 1991)6. Cette thèse est implicitement soutenue par ceux qui parlent de « sport antique », de « sport médiéval », etc. Le médiéviste américain Charles Homer Haskins est le premier historien à utiliser le terme de « sport » dans le cadre d'une étude portant sur le Moyen Âge dans son livre The Latin Litterature of Sport (1927). Au début du xxie siècle, Wolfgang Decker (Institut d'Histoire du Sport de l'École Supérieure du Sport de Cologne) et Jean-Paul Thuillier (directeur du Département des Sciences de l'Antiquité à l'École normale supérieure) estiment que : « contrairement à ce que l'on estime souvent, le sport n'est pas né à Olympie, pas plus qu'il ne s'est éteint dans l'Attique ou le Péloponnèse. L'Égypte nous offre de nombreuses scènes sportives, entre autres de lutte, dès le 3e millénaire avant notre ère, et les Romains, héritiers des Étrusques sur bien des points et en particulier dans ce domaine, ont peut-être créé le sport moderne, avec ses spectacles de masse, ses clubs puissants et ses enjeux financiers colossaux7. »
Pour un autre courant de pensée, le sport est un phénomène apparu à un moment précis de l'histoire et dans un contexte particulier : au sein de l'élite sociale de l'Angleterre industrielle du xixe siècle. Cette thèse est notamment développée en 1921 par l'écrivain allemand Heinz Risse (Soziologie des Sports, Berlin, 1921 et Sociologie du sport, Presses universitaires de Rennes, 1991) qui estime qu'« il est erroné de regarder le passé avec nos modes de pensée actuels et d'imaginer que les pratiques qui ressemblent à celles que nous connaissons peuvent se rapporter à cette appellation "sport" »6. Cette thèse est notamment soutenue par l'historien français Roger Chartier et par les sociologues Norbert Elias8,6 et Pierre Bourdieu9,10. En 2000, l'historien du sport Philippe Lyotard (université de Montpellier) juge qu'« il y a une coupure très nette entre le sport moderne et le sport antique : c’est la notion de record (et donc de performance). Le record et la performance expriment une vision du monde qui est profondément différente entre les Grecs et les modernes. La culture du corps est différente. Pour les Grecs, cette culture est rituelle, culturelle, d’inspiration religieuse, pour les modernes, le corps est une machine de rendement11. »
À travers l'exemple des joutes au xve siècle en France et en Espagne, Sébastien Nadot avance dans sa thèse intitulée Joutes emprises et pas d'armes en Castille, Bourgogne et France, 1428-1470 (soutenue à l'EHESS en 2009) que l'on peut effectivement parler de sport au Moyen Âge et que la plupart des historiens confondent la notion de naissance avec celle de démocratisation du sport quand ils évoquent son apparition seulement à partir du xviiie siècle12. Mais une autre façon de résoudre la question est de forger la notion de « sport moderne » pour distinguer ce phénomène d'autres pratiques historiquement attestées. Dans une étude, une équipe de l'UFR-Stap de l'université de Bourgogne estime ainsi en 2004 que « Le sport moderne, (..) renvoie à l’idéologie de Coubertin, caractérisée par la compétition, la performance, l’entraînement dans des structures institutionnelles (fédérales et scolaires) afin de lutter contre l’oisiveté et les risques de dégénérescence psychologique et physiologique de l’homme »13. Cette notion de « sport moderne » est exposée par l'historien américain Allen Guttmann dans From Ritual To Record, The Nature of Modern Sports (1978). Auteur notamment de Sports: The First Five Millennia, Guttmann ne renonce pas à l'emploi du mot « sport » de l'Antiquité à nos jours.
Histoire[modifier | modifier le code]
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discriminations ainsi que le développement du sport féminin comptent parmi les défis et engagements


Sport et développement durable[modifier | modifier le code]
Des liens de proximité existent entre sport, santé, économie et environnement, depuis longtemps. Les liens avec l'environnement et la santé sont plus évidents avec les « sports de pleine nature », et indirects (via les impacts différés ou indirects) avec les sports en salle ou les sports dits « automobiles » ou « mécaniques ». En tant que tels, les enjeux de soutenabilité du développement des activités sportives ont vraiment émergé dans les années 1990, dans le contexte du Sommet de la Terre de Rio (juin 1992) et de ses suites. Le Mouvement olympique[Qui ?] considère depuis 1999 « l'environnement comme le troisième pilier de l'Olympisme, après le sport et la culture » et dit avoir « développé une politique volontariste de défense de l'environnement qui s'est exprimée dans le «Pacte de la Terre», les actions de collaboration avec le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), la réalisation de Jeux Olympiques « verts » et la tenue de conférences mondiales et régionales sur le Sport et l'environnement ».[réf. souhaitée]
La pollution a son importance pour les grands évènements sportifs, car elle peut nuire aux performances des sportifs eux-mêmes. « Plusieurs études ont montré que l’exposition à l’ozone ou aux microparticules quand on fait du sport réduit la capacité pulmonaire totale, diminue les performances et surtout augmente le risque d’asthme » explique le Dr Pierre Souvet, Président de l’Association Santé Environnement France23. La pollution de l'air s'invite d'ailleurs souvent aux Jeux Olympiques. En 1984, aux Jeux olympiques de Los Angeles, le coureur de 800 mètres Steve Ovett s'était effondré pendant la finale en raison de problèmes respiratoires liés en partie selon lui à la pollution. En 2008 aux Jeux de Pékin, les autorités avaient réduit la circulation des voitures et fermé des centaines d'usines. À Londres, on craint d'être confronté au même problème24.
L'impact environnemental du "sport spectacle" n'est pas le seul à poser problème. Aujourd'hui, compléments alimentaires, barres énergétiques, anti-transpirants, boissons énergisantes : tous ces produits que l’on vend aux sportifs (voir alimentation du sportif) sont suspectés d'être toxiques pour la santé du sportif et pour l'environnement. Ces produits « miracles » peuvent contenir trop de sel, trop de sucres, mais aussi des molécules chimiques (taurine, riboflavine, pyridoxine), des métaux lourds (plomb, aluminium) ou encore des nanoparticules. Celles-ci peuvent avoir des effets délétères sur la santé et sur l'environnement. À l'occasion des Jeux olympiques d'été de 2012, l'Association Santé Environnement France, qui réunit environ 2 500 médecins, a publié un petit guide de conseils pratiques tous basés sur des études scientifiques sérieuses25.
Ambitions pour le 21e siècle[modifier | modifier le code]
À partir des années 2000 des infrastructures sportives respectant mieux l'environnement et les paysage ; la protection des ressources naturelles et de la biodiversité ; la réduction des déchets et polluants produits par le sport ; la promotion des jeunes, des populations autochtones, de la coopération internationale, de la démocratisation du sport et du rôle de la femme ; la lutte contre les discriminations ainsi que le développement du sport féminin comptent parmi les défis et engagements du CIO en faveur de la soutenabilité du sport26.
Au niveau mondial, le comité olympique a produit son propre Agenda (l'Agenda 21 du CIO26, en 1999), suivi d'une résolution du Conseil de l'Europe en 2000, et d'une déclinaison et adaptation française en 2005 (en un « Agenda 21 du sport français27 »). Cet Agenda 21 français invite notamment toutes les fédérations sportive à se doter d'une Commission Environnement et développement durable, qui pourra proposer et évaluer les moyens, pour chaque type d'activité sportive, de construction d'infrastructures sportives ou de déplacements sportifs, de minimisant les impacts directs et indirects, immédiats et différés sur les ressources naturelles (y compris foncières) pas, peu, difficilement, lentement ou coûteusement renouvelables (ex : eau, air, sol, faune, flore, écosystèmes, puits de carbone, services écosystémiques, etc.). Ainsi un nombre croissant de manifestations et d'activités sportives cherchent à minimiser leur empreinte écologique et leur empreinte carbone et parfois à rembourser leur « dette carbone » (dette écologique).
En France, la nouvelle stratégie nationale pour la biodiversité (mai 2011), est accompagnée de premiers « engagements de l’État »28 qui vont dans le sens de l'Agenda 21 du comité olympique. Ces engagements de l’État précisent que les sports devront mieux tenir compte de la biodiversité via notamment une écoconditionnalité des aides publiques (« améliorer la prise en compte de la biodiversité dans les équipements et manifestations sportifs, en particulier en conditionnant les aides publiques ») ; L'état s'engage aussi à soutenir la « soutenir la mutualisation des bonnes pratiques (agricoles, forestières, sports et biodiversité ».
Comportements haineux[modifier | modifier le code]
Le sport en général est un refuge pour les comportements haineux29, ainsi une étude menée par la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports d'Aquitaine montre que l'homophobie est bien plus élevée chez les sportifs que dans la population générale 30. Ceci est notamment vrai pour le football, où la xénophobie et l'homophobie ne sont pas rares31. Les sportifs à avoir révélé leur homosexualité ne sont pas nombreux, et la communauté LGBT organise des évènements, comme les Gay Games, pour que l'orientation sexuelle ne soit plus un vecteur de discrimination32. Le sport peut aussi être perçu comme un refuge du sexisme, en effet dans la quasi totalité des sports ce sont les catégories homme qui sont les plus médiatisées33.
Surmédiatisation[modifier | modifier le code]
La part importante accordée aux sports dans les médias de masse pousse certaines personnes à critiquer ce fait comme étant une stratégie visant à divertir les gens, afin de les empêcher d
Le sport est un ensemble d'exercices physiques, se pratiquant sous forme de jeux individuels ou collectifs pouvant donner lieu à des compétitions.
Le sport est un phénomène quasi universel dans le temps et dans l'espace humain. La Grèce antique, la Rome antique, Byzance, l'Occident médiéval puis moderne, mais aussi l'Amérique précolombienne ou l'Asie, sont tous marqués par l'importance du sport. Certaines périodes sont surtout marquées par des interdits.
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